Suicide et fin de vie médicalisé

 

La question du suicide comme nous l’avions expliqué ultérieurement, est une ablation du fil de vie, qui ne doit avoir lieu.
Le suicide n’est pas une solution en soi, car nous faisons remarquer qu’il interrompt le fil de vie, et de ce fait, les épreuves décidées en amont de la réincarnation.

Voir également les autres sujets sur la mort physique.

maladie orpheline, fin de vie médicalisée

Quel est l'impact du suicide sur l'esprit ?

 

Le schéma est complexe, et les décisions prisent ne le sont pas à la volée. 

Mais il peut arriver que les épreuves décidées soient bien trop lourdes à vivre, et que l’esprit n’y résiste pas. 

Cela étant, il n’est pas concevable non plus d’utiliser un moyen de facilité pour s’y soustraire.
Certaines épreuves sont bien plus pénibles que d’autres, dont les circonstances peuvent avoir des résultantes irrémédiablement négatives sur l’humain. 

Par exemple : la perte d’un enfant, d’un être aimé, la faillite, la guerre, etc …

Le désir également de vouloir rejoindre un être aimé décédé découle d’un sentiment profond d’abandon de soi au profit de l’autre.
Si ce dernier souhait est alors réaliste, beau et vécu comme tel, il n’en demeure pas moins que l’esprit du suicidé ne rejoindra, évidemment pas, celui de la personne décédée auparavant. 

Chaque esprit ayant sa propre analyse de décès à réaliser, et ce, quelque soit la cause du dit décès.

Seuls les esprits ayant réalisés la totalité de leur chemin de vie, pourront se rejoindre facilement. 

Ces derniers étant préparés à partir dans l’astral, seuls ou à deux.
Par exemple, si deux personnes qui ont vécus ensemble, meurent le même jour ou a quelques jours d’intervalle, et si ils ont vécus leurs vies jusqu’au bout au niveau des expériences et buts accomplis.

Quel est l'impact de la fin de vie médicalisée sur l'esprit ?

 

Nous pouvons ainsi en venir au sujet de la fin de vie assistée qui bouleverse tant votre humanité d’aujourd’hui.
La question ne demeure pas sans réponse, mais s’oppose à la résultante du suicide. 

Car non, décider d’abroger sa vie par voie médicalisée ou suite une maladie incurable, n’est pas un suicide en soi.

Une fois encore, l’Homme se laisse aller à ne pas décider et à ne pas comprendre par lui-même, mais se laisse dicter une réponse aveugle et sourde, qui n’est que religieuse. Ce qui lui permets de juger bien simplement ses semblables à défaut de se poser des questions gênantes pour son propre esprit.

La fin de vie médicalisée résulte d’un choix personnel face à une maladie dont on sait qu’elle sera incurable ou dont la rémission ne sera que temporaire.

Quelque soit l’âge, quelques soit l’avancée de la personne, il ne pourra y avoir de solution dite viable pour extirper l’individu de cette maladie et donc, d’une mort inéluctable.

Epreuve décidée alors ? ….. Pas nécessairement, car n’oubliez pas que votre véhicule qu’est le corps humain a aussi ses défauts et ses faiblesses.

Peut-on alors forcément penser que toutes les maladies ne sont pas des épreuves …. Non plus.

L’âme garde en elle la mémoire cellulaire. Et dans le cas d’épreuve décidée, peut, via le périsprit, réinjecter une partie de cette mémoire et déclencher une maladie afin de la surmonter.

Prenons le cas d’une personne ayant eu un cancer généralisé. Dont la souffrance avant le décès fut trop éprouvante. Cette personne, lors de sa prochaine réincarnation, pourra décider d’affronter cette peur et cette maladie, et de la vaincre afin de passer une nouvelle étape. Il faut alors voir la suppression d’un blocage que l’esprit avait à cœur de passer afin de pouvoir aller sur une avancée autre, et de passer ainsi à une étape supérieure.

Les maladies curatives et décidées en tant qu’épreuves, ont pour but d’aller au-delà de soi, de se confronter à quelque chose que seul notre esprit peut entrevoir. 

Les maladies incurables sont le fruit d’une normalité de disfonctionnement de notre corps, ou d’une agression appartenant à la planète de votre réincarnation (virus, corps défectueux, mais aussi radiations de tous types).

 

Qu'en est-il des maladies orphelines ?

 

Ces maladies sont issues de votre corps physiques, et ne sont pas inhérentes à un choix dévolue, mais permettent néanmoins à l’esprit d’apprendre et de comprendre rapidement une somme colossale d’éléments. 

Les sentiments ressentis alors par l’entourage et le réincarné, permettront un cheminement rapide et enrichissant à bien des égards pour les protagonistes en présence.

Quel est la synthèse de ces causes de décès ?

 

Le suicide, pour en revenir à ce dernier, ne se conclut que rarement à un âge avancé. 

Il n’a pas pour but de briser une vie bien remplie, mais une vie courte et esseulée pour le protagoniste.
Le suicide est la cause d’un mal profond qui ne montre aucune porte de sortie et aucune échappatoire à la personne prisonnière de son désarroi. 

Alimenté ou non par le côté sombre de l’astral, la personne ira par voie de facilité vers ce dernier geste. Mais rien de positif ne pourra en découdre.

– Soit l’esprit se trouve prisonnier du bas astral, mais cela demeure rare.

– Soit la pérégrination pour se retrouver en tant qu’esprit sera longue et laborieuse. Et l’épreuve à laquelle le réincarné aura échoué, sera remise en avant plan lors de la prochaine réincarnation.

Le seul suicide qui sera positif, si nous pouvons l’avancer ainsi, et le suicide total, partant sur l’idée qu’il sera le tremplin à la radiation de tout souvenir dans l’âme, et d’un ré-enclenchement au niveau de la matrice de cette dernière.

La fin de vie médicalisée n’est en aucun cas axée sur tout cela mais sur un défaut du corps physique entrainant des douleurs inutiles quant à l’apprentissage de l’esprit hôte, et dont la réminiscence ne sera pas de mise.

La totalité des épreuves existentielles de cette réincarnation ayant été vécue, la souffrance en devient alors inutile, et inappréciée de par l’âge de la personne.

Abréger cette fin de vie est donc légitime et n’entachera en aucun cas la somme d’expériences assimilées lors de cette existence. 

Tout cela sera conservé, et la décision étant optimale, l’esprit ne sera pas en état de trouble suite au décès.

Le suicide et la fin de vie sont des sujets complexes. 

Mais il est assez simple de comprendre le fondement de chaque principe et la portée de ces derniers.

Reçu le 07-04-2021 – Médium Dark Angel