Prière : les deux sourates protectrices (S.113 et 114)

1. Dis : ‹Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante, 2. contre le mal des êtres qu’Il a créé, 3. contre le mal de l’obscurité quand elle s’approfondit, 4. contre le mal de celles qui soufflent (les sorcières) sur les noeuds, 5. et contre le mal de l’envieux quand il envie›.
(Sourate 113, Al-Falaq, L’Aube Naissante)

1. Dis : ‹Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes. 2. Le Souverain des hommes, 3. Dieu des hommes, 4. contre le mal du mauvais conseiller, furtif, 5. qui souffle le mal dans les poitrines des hommes, 6. qu’il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain›.
(Sourate 114, An-Nass, Les Hommes )

Bien que ces deux sourates du Coran soient des entités séparées et qu’elles soient écrites dans le Mushaf sous deux noms différents, elles sont cependant si profondément reliées l’une à l’autre et leur contenu se ressemble tant qu’on les désigne par un nom commun aux deux : Mu`awwidhatayn (les deux sourates dans lesquelles le refuge auprès d’Allâh est recherché). L’Imâm Al-Bayhaqî dans Dalâ’il An-Nubuwwah a écrit que ces deux sourates ont été révélées ensemble, c’est pourquoi le nom commun aux deux est Mu`awwidhatayn.